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mardi 10 juillet 2018

Aux portes du cataclysme ! 2


La fonte de la glace

Le GIEC est le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Pour cette organisation : « Le réchauffement du climat ne fait aucun doute et est désormais attesté par l’augmentation observée des températures moyennes de l’air et de l’océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace et l’augmentation du niveau moyen de la mer ». Les glaciers et la neige, qui recouvrent certaines zones terrestres, fondent. On a pu constater que la température à la surface des mers et des océans n’avait jamais été aussi élevée que pendant l’année 2016.

La banquise du pôle nord fond inexorablement. En 2016, on ne pouvait que constater que la réduction de la surface de la glace avait atteint un record. En Octobre, sa surface était la plus faible jamais enregistré, depuis le début des relevés par satellites, en 1979. Elle disparaîtrait complètement dans les années 2050. [1]

Fort heureusement, la glace du continent antarctique se maintient.

Une étude s’est particulièrement intéressée aux glaciers et aux calottes glaciaires, entre 2003 et 2010. Pendant ces sept ans, le niveau mondial des mers s’est élevé de 12 millimètres. Ceci correspond à une quantité de glace suffisante pour recouvrir les États-Unis d’une couche de 50cm. [2]

Le journal « Le Monde » titrait en début d’année 2017 : « Les glaciers alpins fondent à très grande vitesse. Selon une étude internationale, les formations glaciaires réagissent plus fortement que prévu au réchauffement climatique. » La Mer des Glaces a perdu plus de deux kilomètres de longueur en deux siècles.

En Afrique, la superficie des glaciers a diminué en moyenne de 60 à 70 % depuis 1900. « Dans environ dix ans, les dernières neiges qui sont encore visibles depuis le Kenya au sommet du Kilimandjaro ne seront probablement plus qu’un souvenir. » [3]

Entre 1901 et 2010, le niveau des mers a augmenté de 19 cm. Depuis 20 ans, la hausse du niveau est presque 2 fois plus rapide. Le réchauffement est donc une menace déjà par la simple augmentation du niveau des mers, qui évidemment empiète sur les terres, même si cette montée paraît très lente.

Le changement d’axe de rotation de la terre

Albert Einstein croyait que des catastrophes surviennent quand la croûte terrestre se déplace à la surface du globe. La cause en serait la force centrifuge, générée par le mouvement de rotation, qui ferait pression sur les glaces polaires. L’asymétrie de répartition de la glace finirait par provoquer une instabilité, un déplacement brutal de la croûte. Les régions polaires bougeraient ainsi vers l’équateur.

Le grand médium Edgar Cayce affirma , dans la première moitié du XXe siècle, que les pôles de la terre basculeraient en 1998, c’est-à-dire que l’axe de rotation de notre planète allait se modifier. Il voyait cet événement comme la culmination d’un processus progressif, qui marquerait le début d’un nouvel âge. Il expliquait que les pôles avaient déjà changé, il y a environ 50 000 ans. « Ces changements amèneront, comme nous le trouvons, la submersion de certaines zones avec les inondations dues au raz-de-marée qui suivra… Le glissement de l’axe des pôles, c’est-à-dire le commencement d’un nouveau cycle, se fera d’abord en douceur. Puis, il viendra un temps où, le processus s’accélérant, il deviendra violent, sous forme d’éruptions volcaniques, séismes, pluies diluviennes, tsunamis… Le renversement de l’axe des pôles aura comme conséquence que les pays à climat froid et semi-tropical deviendront tropicaux, avec des mousses et des fougères » (Traduction de Dorothée Koechlin de Bizemont).

On pourrait penser que la prophétie susmentionnée était fausse puisqu’il ne s’est rien passé aux dates prévues ! Ou alors, l’échéance a été repoussée, mais pas nécessairement annulée ? Cayce disait que ses prophéties étaient conditionnelles, qu’elles dépendaient du libre arbitre des personnes. Il voyait l’état de la situation à un moment donné, mais ne pouvait prévoir la façon dont les peuples orienteraient leurs choix, leurs volontés. Par ailleurs, il est bien connu que les voyants reçoivent des images, des flashs, mais ont du mal à dater les événements.

Le guérisseur Philippe de Lyon (1849-1905) annonçait, pour le XXè siècle, « le renversement des pôles qui amènera le chaud à la place du froid et inversement. » Comme Cayce, il prédisait à cette occasion l’émergence de terres nouvelles et l’engloutissement de certaines autres.

Un scénario possible

Cycliquement, le système solaire est soumis à des conditions énergétiques déséquilibrantes. Cela peut être dû à l’arrivée d’un corps céleste qui vient perturber l’équilibre des forces.Cela peut être dû à l’arrivée du système solaire dans une région de l’espace, porteuse de conditions énergétiques différentes. Le champ magnétique de la terre s’affaiblit. L’intensité des rayons du soleil réchauffe la terre. Cela provoque une fonte progressive des glaces. Cette diminution de la glace (totale ou partielle) change la répartition des masses sur la terre. Notre planète est déstabilisée ; elle perd son axe de rotation, et en retrouve un autre, adapté aux nouvelles conditions. [4] Ce brusque mouvement entraîne celui des mers et des océans, ce qui provoque de gigantesques raz de marées sur les régions côtières. [5]

Pour le CNRS commentant un cas de figure fictif :  « Il a été montré que la dérive du pôle de rotation d’une planète peut être produite par des changements dans la distribution des masses dans son manteau ou à sa surface… Un réarrangement de masse (de grande échelle) va donc entraîner la Terre à basculer pour se rééquilibrer par rapport à l’orientation de sa rotation. » [6]

Comme l’écrit Flavio Barbiero, « L’axe de symétrie de la terre, comme pour la roue d’une voiture, est déterminé par la répartition des poids à la surface (de la terre) et à l’intérieur. La rotation se fait toujours avec un équilibre parfait avec la répartition des masses de la terre et l’ensemble des forces qui agissent sur ses masses. C’est précisément pour maintenir cet équilibre que l’axe change continuellement. Tout déplacement de masse sur la terre entraîne un déplacement des pôles… De 1900 à 1970, la position moyenne du pôle nord s’est déplacée de près d’une dizaine de mètres. »

Le scénario peut être prolongé ; il explique pourquoi toutes les civilisations anciennes ont consigné la grande inondation générale, que l’on appelle le déluge. Si la planète bougeait, les anciens pôles ne seraient justement plus aux pôles. Alors, toute leur glace devrait fondre, ce qui entraînerait une montée du niveau des mers. L’eau recouvrirait les basses terres de la planète ; la carte du monde serait transformée. C’est probablement ce qui est arrivé il y a 12 000 ans !

Une vidéo, visible sur Internet, donne la parole à des Inuits, qui ont remarqué des changements dans les habitudes de levers et couchers du soleil. Le Daily Mail rapportait que, au Groenland, le jour se lève deux jours plus tôt que d’habitude. [7]

Des éléments de preuve

On a retrouvé dans les glaces de Sibérie et de l’Alaska des mammouths et des animaux tropicaux. Certains avaient encore dans l’estomac des plantes exotiques en cours de digestion. C’est comme si ces animaux, de climat chaud ou tempéré, s’étaient tout à coup retrouvés dans un froid extrême, et avaient littéralement congelé sur place.

« En 1829, le scientifique allemand G.A. Erman se rendit aux îles Liakhov et de Nouvelle-Sibérie pour y mesurer le champ magnétique terrestre et s’étonna de voir le sol jonché d’os d’éléphants, de rhinocéros et de buffles. » Comment ces animaux avaient-ils pu vivre dans un environnement aussi hostile ?

En 1823, un professeur de l’Université d’Oxford, William Buckland, visita une grotte située à Kirkdale en Angleterre. Il découvrit des dents et des os d’animaux, tels des éléphants, des rhinocéros, des hippopotames, des tigres… Dans la même région du Yorkshire, dans la grotte Victoria près de Seule, on a découvert des restes d’espèces identiques. Dans le même ordre d’idée, les cavernes britanniques du Vale of Clwyd contiennent des os de lions !

Ces cadavres d’animaux, semblant avoir vécu sous des climats qu’ils ne pouvaient en principe pas supporter, nous enseignent que les climats de la terre ont changé à une certaine époque. Une des meilleures explications fait intervenir un changement dans l’axe de rotation de la terre, événement qui aurait complètement redistribué les schémas climatiques.

Velikovsky rapporte les observations d’un certain Heer, qui étudia les végétaux fossilisés de l’Arctique, notamment des magnolias et des figuiers ! Au niveau du cercle polaire, sur une terre aujourd’hui froide et privée de la lumière nécessaire, il y avait autrefois des forêts d’arbres exotiques.

L’ancienne carte de Piri Réis montre le monde connu à la Renaissance, avec aussi une partie de la côte du continent antarctique. C’est surprenant puisque la science du XVI ème siècle ne permettait pas d’évaluer les longitudes… qui sont correctes sur la carte ! [8] De plus, l’Antarctique est couvert de glace depuis au moins 10 000 ans ! Il faut alors penser que la carte a été établie avant cette période, et que le continent austral n’a pas toujours été couvert de glace… donc qu’il n’a pas toujours été à l’emplacement du pôle sud. On a retrouvé là des traces de forêt tropicale, avec des fougères et des palmiers.

Une autre conclusion est qu’il a existé en Antarctique une civilisation développée, qui a dessiné cette carte, avant la glaciation.

Une autre carte de la Renaissance, celle d’Oronce Fine (ou Oronteus Finaeus), montre le continent Antarctique d’une façon précise.






[2] Large étude réalisée sous la direction de l’université du Colorado, à Boulder, avec participation de la Nasa et du centre aérospatial allemand. Les données montrent que la quantité de glace perdue en sept ans, par le Groenland, l’Antarctique et les autres glaciers et calottes polaires, avoisine les 4300 milliards de tonnes.
Page : http://cordis.europa.eu/news/rcn/34293_fr.html

[3] Site internet climatechallengebe.

[4] Edgar Cayce résumait ainsi le basculement des pôles qui aurait eu lieu 50 000 ans avant notre ère : « La glace, la Nature, Dieu, changèrent l’axe des pôles… » Ces paroles pouvaient sembler incompréhensibles, avant que l’on constate la fonte de la banquise et de certains glaciers. Un autre indice est manifeste de nos jours : les volcans de la Ceinture de Feu du Pacifique sont en activité, ce que Cayce annonçait comme un signe précurseur du basculement.


[5] Sur le processus cataclysmique en cours, on peut trouver beaucoup d’infos sur le blog de Ben Garneau : https://bengarno.wordpress.com/constatations/





[8] « Pendant des années, cette carte fut soumise à tous les examens possibles et imaginables afin d’en vérifier l’authenticité et elle les surmonta brillamment… le résultat fut surprenant : cette carte, comme celle de Finaeus, a été dessinée sur la base d’une projection sophistiquée en utilisant la trigonométrie sphérique » (Flavio Barbiero).

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