La fontaine Bartholdi de Lyon est un monument énigmatique. Elle porte
des allusions au déluge mythique, qui a ravagé la terre. Les indices
laissés par des initiés pointent aussi en direction de l'ère du Verseau,
dont l'arrivée pourrait coïncider avec une nouvelle catastrophe due à
l'eau. La fontaine Bartholdi se rattache à un codage sur la Fin des
Temps. L'Apocalypse, ou Révélation, est à notre porte.
samedi 29 décembre 2018
dimanche 9 décembre 2018
Jésus l'extraterrestre: les preuves dans les monuments.
Jésus-Christ était-il un extraterrestre, un alien qui voyageait dans un vaisseau spatial ? Les églises et les cathédrales contiennent des représentations de Jésus, qui portent un code secret, jamais entrevu avant. On aborde ici un domaine tout à fait original, au carrefour de l'ufologie et de l'ésotérisme. Cette vidéo est un ovni !
lundi 27 août 2018
mercredi 11 juillet 2018
Aux portes du cataclysme ! 1
Résumé
succinct des trois pages. A notre époque, les paramètres de notre planète sont
à des valeurs inhabituelles, au niveau climatique, magnétique, volcanique et
sismique. Il se peut que la terre prépare le changement de son axe de rotation.
Voici pourquoi. Le champ magnétique s’affaiblit, ce qui fait que le soleil
frappe durement la terre, d’où le réchauffement climatique. Les chemtrails (ou
faux nuages) ont pour fonction de freiner le réchauffement. Le gros problème,
c’est que la glace du pôle nord fond, ce qui modifie la répartition des masses
à la surface de la terre. A un moment donné, celle-ci pourrait basculer pour
rester en équilibre. Explications…
En cette
année 2017, on sent bien que le cours des choses est perturbé ; la
situation s’emballe, sans que personne ne semble la maîtriser. On constatait en
2007 que le nombre de catastrophes naturelles avait augmenté de 60% en dix
ans ! [1]
Est-il possible que ces déséquilibres soient les
prémisses d’un cataclysme planétaire ?
Le réchauffement
Tous les ans, on nous annonce de nouveaux records de
chaleur. Tout le monde peut constater, en toutes saisons, à quel point le
soleil « tape », quand les nuages ne bloquent pas ses rayons. Depuis
quelques années, la neige, qui faisait la joie de notre enfance, ne tombe plus.
En cette fin du mois de Mai 2017, où sont écrites ces
lignes, « la France vit le pont de l’Ascension le plus chaud depuis
le début des relevés météorologiques. Ainsi, depuis jeudi, de nombreux records
de chaleur sont battus ». [2]
Le mois de Juillet 2016, selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (la NOAA), est le mois de Juillet le plus chaud qu’a connu la planète depuis le début des mesures en 1880… » [3] [4]
Le mois de Juillet 2016, selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (la NOAA), est le mois de Juillet le plus chaud qu’a connu la planète depuis le début des mesures en 1880… » [3] [4]
Les tempêtes solaires
À notre époque, le comportement du
soleil déroute les scientifiques ; notre astre ne produit que la moitié du
nombre habituel de taches solaires. Ses pôles magnétiques sont totalement
désynchronisés.
Les éruptions solaires ne sont pas sans
risque pour la civilisation. Il arrive que le soleil projette à l’extérieur de
la masse coronale, qui peut « provoquer des tempêtes géomagnétiques et
déranger le champ magnétique terrestre dans son ensemble. » (Wikipédia).
Et justement, en 2014, on a enregistré des records d’intensité d’éjection de
masse coronale ; la Nasa a prévenu que cela pouvait occasionner sur la
terre de sérieuses coupures de courant.
Le trou dans la couche d’ozone
L’ozone est un gaz présent dans
l’atmosphère. Il bloque les dangereux rayons ultra-violets, qui proviennent du
soleil. Malheureusement, il y a un trou dans la couche d’ozone, au-dessus de
l’Antarctique. Cela fait que le tamisage des UV est devenu imparfait. Les
rayons ultra-violets les plus nocifs ont tendance à brûler la peau, et
provoquer diverses pathologies. Ce trou dans la couche d’ozone est donc un
facteur d’accentuation du réchauffement. On note qu’en Septembre 2016 un groupe
de chercheurs estimaient que le trou se referme lentement, ce qui est une bonne
nouvelle.
Le magnétisme terrestre
Le magnétisme terrestre est un champ
d’énergie qui protège la terre des effets nocifs du soleil, ainsi que des
rayons cosmiques. Or, en deux siècles, ce champ magnétique s’est affaibli de
10°/°. Des scientifiques se demandent s’il ne va pas inverser sa polarité,
comme cela a déjà eu lieu dans le passé. Cet affaiblissement pourrait être
dangereux puisque de fortes tempêtes solaires, associées à un champ magnétique
affaibli, peuvent mettre en péril la vie sur la terre.
On a observé une instabilité du
géomagnétisme. Les pôles magnétiques se déplacent. Le pôle nord, situé dans la
région arctique du Canada, se déplace vers la Sibérie, de 55 km par an. En
quelques décennies, il a bougé de plusieurs dizaines de kilomètres.
Certains mammifères marins,
baleines, dauphins, viennent s’échouer sur les côtes, comme s’ils étaient
complètement désorientés. Dans le même registre, il y a quelques années, au
moins une cinquantaine d’oiseaux Choucas sont tombés du ciel, en Suède. En
Arkansas, on a constaté une pluie de 5 000 oiseaux morts ! Il se
peut que ces animaux aient l’habitude de se laisser guider par les champs
magnétiques, mais soient trompés par les perturbations actuelles. Ainsi, ils
n’arriveraient plus à s’orienter.
Les résonances de Schumann
« Les résonances de Schumann sont un ensemble de pics spectraux dans le domaine d’extrême basse fréquence (3 à 30 Hz) du champ électromagnétique terrestre. » (Wikipédia). La fréquence principale a longtemps été de 7,8 Hz, mais depuis les années 80, elle s’accroit, jusqu’à atteindre 13 Hz en 2014. En 2017, elle est montée jusqu’à 36 Hz ! Ce battement terrestre donnerait le rythme de vie à toutes les créatures qui peuplent la terre, y compris l’humanité. Certains pensent que ces résonances influencent nos cerveaux ; puisqu’elles s’élèvent, elles favoriseraient l’émergence d’un Humain supérieur. Ce changement de fréquence pourrait d’abord être perturbant pour nous, jusqu’à ce que nous soyons parfaitement synchronisés. Les conditions magnétiques changent sur la terre.
« Les résonances de Schumann sont un ensemble de pics spectraux dans le domaine d’extrême basse fréquence (3 à 30 Hz) du champ électromagnétique terrestre. » (Wikipédia). La fréquence principale a longtemps été de 7,8 Hz, mais depuis les années 80, elle s’accroit, jusqu’à atteindre 13 Hz en 2014. En 2017, elle est montée jusqu’à 36 Hz ! Ce battement terrestre donnerait le rythme de vie à toutes les créatures qui peuplent la terre, y compris l’humanité. Certains pensent que ces résonances influencent nos cerveaux ; puisqu’elles s’élèvent, elles favoriseraient l’émergence d’un Humain supérieur. Ce changement de fréquence pourrait d’abord être perturbant pour nous, jusqu’à ce que nous soyons parfaitement synchronisés. Les conditions magnétiques changent sur la terre.
Le volcanisme
« Depuis une vingtaine d’années, le nombre de volcans actifs est en augmentation et les éruptions volcaniques sont plus nombreuses. » Alors qu’en 1990 on en comptait 55, il y en a eu 83 en 2013. [5]
« Depuis une vingtaine d’années, le nombre de volcans actifs est en augmentation et les éruptions volcaniques sont plus nombreuses. » Alors qu’en 1990 on en comptait 55, il y en a eu 83 en 2013. [5]
Au XXème siècle, en moyenne, il n’y avait
« que » 35 éruptions par an. L’année 2015, à la moitié son échéance,
avait déjà dépassé cette moyenne ! [6]
Le
volcanisme terrestre est donc dans une phase d’hyperactivité, comme s’il
reflétait la maturation interne de la planète.
L’activité
sismique
De 1980 à 1989, il y a eu en moyenne 108,5 tremblements de terre de magnitude 6 (ou plus) par an.
De 1980 à 1989, il y a eu en moyenne 108,5 tremblements de terre de magnitude 6 (ou plus) par an.
De 2000 à
2009, cette moyenne est passée à 161 tremblements de terre par an, soit une
augmentation de 49%. [7]
En fait, des séismes touchent dorénavant de nouvelles
zones : « On constate que de plus en plus de nouvelles zones
géographiques, sont sujettes à des secousses sismiques. La plupart d’entre
elles n’ont pas, voire très peu d’antécédent… Nombreux sont les professionnels
n’ayant pas envisagé une telle émergence de nouvelles zones sismiques, des
zones où il ne s’est jamais rien passé ou, depuis tellement longtemps que même
la mémoire collective des populations locales ne puisse s’en souvenir. » [8]
Toutes ces
statistiques donnent un peu le tournis, mais elles sont importantes pour
comprendre que la terre est sortie de sa phase routinière, pour entrer dans un
processus de changement. Personne ne sait exactement ce qui va se passer. Les
grands médias font l’autruche, mais est-ce vraiment raisonnable ? On passe
le message que le réchauffement climatique est le fait de l’activité humaine,
de la pollution par le gaz carbonique, libéré notamment par les voitures.
Pourtant, des scientifiques font remarquer que l’augmentation de CO² précède le
réchauffement, et non l’inverse.
Nous pensons
que l’industrie humaine n’est pas le principal facteur des chamboulements climatiques.
Il s’agit plutôt d’un mécanisme naturel, qui n’arrive pas par hasard à notre
époque. Nous serions à la fin d’une grande année de 26 000 ans, période
qui entraîne cycliquement certaines perturbations sur la terre. Notre planète
serait en route vers un basculement physique de ses pôles, comme cela est déjà
arrivé dans le passé lointain.
La société
fonctionne avec des garde-fous, des limites que les différents acteurs ne
doivent pas franchir. Ils le savent. Certains sujets sont tabous et non
autorisés dans les médias. Le spirituel, le paranormal, les extraterrestres,
l’Atlantide, ne sont pas des sujets de bon augure pour la carrière d’une
personne diplômée. C’est pourquoi votre serviteur est un électron libre,
détaché de toute institution.
Les scientifiques
nous affirment que le mécanisme du réchauffement travaille lentement, et que la
catastrophe n’est pas pour demain. Peut-on véritablement leur faire
confiance ? Ils n’hésiteraient pas à mentir par omission, devant des
révélations trop effarantes, pour ne pas affoler les populations.
Pour le
GIEC, « la conclusion est très claire : les activités humaines,
notamment l’usage des énergies fossiles, a conduit à une hausse exceptionnelle
de la concentration des gaz à effet de serre transformant le climat à un rythme
jamais vu par le passé. » Cette conclusion est cependant réfutée par
d’autres scientifiques qui contestent l’activité humaine en tant que
responsable du réchauffement. Le GIEC, présente-t-il volontairement une
explication erronée des anomalies climatiques, pour ne pas paniquer le
public ? Identiquement, les médias cautionnent les experts du GIEC, et non
les dissidents. Il est fort possible que l’on cherche à cacher au public que
c’est l’activité du soleil qui perturbe le climat de la terre.
[2] Au milieu de l’année 2015, 40
volcans étaient en éruption simultanément.
[3]
Une autre étude nous apprend qu’il y a eu deux
fois plus de tremblements de terre dans le premier trimestre 2014, que dans la
moyenne depuis 1979 !
En ce qui concerne les tremblements de terre importants, d’une magnitude comprise entre 6 et 8, un coup d’œil sur les statistiques depuis 1900 est instructif. Depuis l’an 2000 environ, il y a au moins 4 fois plus de ces gros séismes !
En ce qui concerne les tremblements de terre importants, d’une magnitude comprise entre 6 et 8, un coup d’œil sur les statistiques depuis 1900 est instructif. Depuis l’an 2000 environ, il y a au moins 4 fois plus de ces gros séismes !
[4] Site internet « Les Moutons
enragés », page « Les aléas sismiques ont tendance à augmenter en
Europe », 2013.
[6] Site : la Chaîne Météo.
[8]
Selon le blog de Ben Garneau, « Nibiru,
catastrophes naturelles et déplacement des pôles », le noyau au centre de
la terre aurait brusquement accéléré sa rotation. Les frottements occasionnés
génèrent de la chaleur, ce qui pourrait être une cause du réchauffement global.
Le fond des océans est plus chaud.
mardi 10 juillet 2018
Aux portes du cataclysme ! 2
La fonte de
la glace
Le GIEC est
le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Pour cette
organisation : « Le réchauffement du climat ne fait aucun doute et est
désormais attesté par l’augmentation observée des températures moyennes de
l’air et de l’océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace et
l’augmentation du niveau moyen de la mer ». Les glaciers et la neige, qui
recouvrent certaines zones terrestres, fondent. On a pu constater que la
température à la surface des mers et des océans n’avait jamais été aussi élevée
que pendant l’année 2016.
La banquise
du pôle nord fond inexorablement. En 2016, on ne pouvait que constater que la
réduction de la surface de la glace avait atteint un record. En Octobre, sa
surface était la plus faible jamais enregistré, depuis le début des relevés par
satellites, en 1979. Elle disparaîtrait complètement dans les années 2050. [1]
Fort
heureusement, la glace du continent antarctique se maintient.
Une étude s’est
particulièrement intéressée aux glaciers et aux calottes glaciaires, entre 2003
et 2010. Pendant ces sept ans, le niveau mondial des mers s’est élevé de 12
millimètres. Ceci correspond à une quantité de glace suffisante pour recouvrir
les États-Unis d’une couche de 50cm. [2]
Le journal
« Le Monde » titrait en début d’année 2017 : « Les glaciers
alpins fondent à très grande vitesse. Selon une étude internationale, les
formations glaciaires réagissent plus fortement que prévu au réchauffement
climatique. » La Mer des Glaces a perdu plus de deux kilomètres de
longueur en deux siècles.
En Afrique,
la superficie des glaciers a diminué en moyenne de 60 à 70 % depuis 1900.
« Dans environ dix ans, les dernières neiges qui sont encore visibles
depuis le Kenya au sommet du Kilimandjaro ne seront probablement plus qu’un
souvenir. » [3]
Entre 1901
et 2010, le niveau des mers a augmenté de 19 cm. Depuis 20 ans, la hausse du
niveau est presque 2 fois plus rapide. Le réchauffement est donc une menace
déjà par la simple augmentation du niveau des mers, qui évidemment empiète sur
les terres, même si cette montée paraît très lente.
Le
changement d’axe de rotation de la terre
Albert
Einstein croyait que des catastrophes surviennent quand la croûte terrestre se
déplace à la surface du globe. La cause en serait la force centrifuge, générée
par le mouvement de rotation, qui ferait pression sur les glaces polaires.
L’asymétrie de répartition de la glace finirait par provoquer une instabilité,
un déplacement brutal de la croûte. Les régions polaires bougeraient ainsi vers
l’équateur.
Le grand
médium Edgar Cayce affirma , dans la première moitié du XXe siècle, que les
pôles de la terre basculeraient en 1998, c’est-à-dire que l’axe de rotation de
notre planète allait se modifier. Il voyait cet événement comme la culmination
d’un processus progressif, qui marquerait le début d’un nouvel âge. Il
expliquait que les pôles avaient déjà changé, il y a environ 50 000 ans.
« Ces changements amèneront, comme nous le trouvons, la submersion de
certaines zones avec les inondations dues au raz-de-marée qui suivra… Le
glissement de l’axe des pôles, c’est-à-dire le commencement d’un nouveau cycle,
se fera d’abord en douceur. Puis, il viendra un temps où, le processus
s’accélérant, il deviendra violent, sous forme d’éruptions volcaniques, séismes,
pluies diluviennes, tsunamis… Le renversement de l’axe des pôles aura comme
conséquence que les pays à climat froid et semi-tropical deviendront tropicaux,
avec des mousses et des fougères » (Traduction de Dorothée Koechlin de
Bizemont).
On pourrait
penser que la prophétie susmentionnée était fausse puisqu’il ne s’est rien
passé aux dates prévues ! Ou alors, l’échéance a été repoussée, mais pas
nécessairement annulée ? Cayce disait que ses prophéties étaient
conditionnelles, qu’elles dépendaient du libre arbitre des personnes. Il voyait
l’état de la situation à un moment donné, mais ne pouvait prévoir la façon dont
les peuples orienteraient leurs choix, leurs volontés. Par ailleurs, il est
bien connu que les voyants reçoivent des images, des flashs, mais ont du mal à
dater les événements.
Le
guérisseur Philippe de Lyon (1849-1905) annonçait, pour le XXè siècle,
« le renversement des pôles qui amènera le chaud à la place du froid et
inversement. » Comme Cayce, il prédisait à cette occasion l’émergence de
terres nouvelles et l’engloutissement de certaines autres.
Un scénario
possible
Cycliquement, le système solaire est soumis à des conditions énergétiques déséquilibrantes. Cela peut être dû à l’arrivée d’un corps céleste qui vient perturber l’équilibre des forces.Cela peut être dû à l’arrivée du système solaire dans une région de l’espace, porteuse de conditions énergétiques différentes. Le champ magnétique de la terre s’affaiblit. L’intensité des rayons du soleil réchauffe la terre. Cela provoque une fonte progressive des glaces. Cette diminution de la glace (totale ou partielle) change la répartition des masses sur la terre. Notre planète est déstabilisée ; elle perd son axe de rotation, et en retrouve un autre, adapté aux nouvelles conditions. [4] Ce brusque mouvement entraîne celui des mers et des océans, ce qui provoque de gigantesques raz de marées sur les régions côtières. [5]
Cycliquement, le système solaire est soumis à des conditions énergétiques déséquilibrantes. Cela peut être dû à l’arrivée d’un corps céleste qui vient perturber l’équilibre des forces.Cela peut être dû à l’arrivée du système solaire dans une région de l’espace, porteuse de conditions énergétiques différentes. Le champ magnétique de la terre s’affaiblit. L’intensité des rayons du soleil réchauffe la terre. Cela provoque une fonte progressive des glaces. Cette diminution de la glace (totale ou partielle) change la répartition des masses sur la terre. Notre planète est déstabilisée ; elle perd son axe de rotation, et en retrouve un autre, adapté aux nouvelles conditions. [4] Ce brusque mouvement entraîne celui des mers et des océans, ce qui provoque de gigantesques raz de marées sur les régions côtières. [5]
Pour le CNRS
commentant un cas de figure fictif : « Il a été montré que la
dérive du pôle de rotation d’une planète peut être produite par des changements
dans la distribution des masses dans son manteau ou à sa surface… Un
réarrangement de masse (de grande échelle) va donc entraîner la Terre à
basculer pour se rééquilibrer par rapport à l’orientation de sa
rotation. » [6]
Comme
l’écrit Flavio Barbiero, « L’axe de symétrie de la terre, comme pour la
roue d’une voiture, est déterminé par la répartition des poids à la surface (de
la terre) et à l’intérieur. La rotation se fait toujours avec un équilibre
parfait avec la répartition des masses de la terre et l’ensemble des forces qui
agissent sur ses masses. C’est précisément pour maintenir cet équilibre que
l’axe change continuellement. Tout déplacement de masse sur la terre
entraîne un déplacement des pôles… De 1900 à 1970, la position moyenne du pôle
nord s’est déplacée de près d’une dizaine de mètres. »
Le scénario
peut être prolongé ; il explique pourquoi toutes les civilisations
anciennes ont consigné la grande inondation générale, que l’on appelle le
déluge. Si la planète bougeait, les anciens pôles ne seraient justement plus
aux pôles. Alors, toute leur glace devrait fondre, ce qui entraînerait une
montée du niveau des mers. L’eau recouvrirait les basses terres de la
planète ; la carte du monde serait transformée. C’est probablement ce qui
est arrivé il y a 12 000 ans !
Une vidéo,
visible sur Internet, donne la parole à des Inuits, qui ont remarqué des
changements dans les habitudes de levers et couchers du soleil. Le Daily Mail
rapportait que, au Groenland, le jour se lève deux jours plus tôt que
d’habitude. [7]
Des éléments
de preuve
On a
retrouvé dans les glaces de Sibérie et de l’Alaska des mammouths et des animaux
tropicaux. Certains avaient encore dans l’estomac des plantes exotiques en
cours de digestion. C’est comme si ces animaux, de climat chaud ou tempéré,
s’étaient tout à coup retrouvés dans un froid extrême, et avaient littéralement
congelé sur place.
« En
1829, le scientifique allemand G.A. Erman se rendit aux îles Liakhov et de
Nouvelle-Sibérie pour y mesurer le champ magnétique terrestre et s’étonna de
voir le sol jonché d’os d’éléphants, de rhinocéros et de buffles. »
Comment ces animaux avaient-ils pu vivre dans un environnement aussi
hostile ?
En 1823, un
professeur de l’Université d’Oxford, William Buckland, visita une grotte située
à Kirkdale en Angleterre. Il découvrit des dents et des os d’animaux, tels des
éléphants, des rhinocéros, des hippopotames, des tigres… Dans la même région du
Yorkshire, dans la grotte Victoria près de Seule, on a découvert des restes
d’espèces identiques. Dans le même ordre d’idée, les cavernes britanniques du
Vale of Clwyd contiennent des os de lions !
Ces cadavres
d’animaux, semblant avoir vécu sous des climats qu’ils ne pouvaient en principe
pas supporter, nous enseignent que les climats de la terre ont changé à une
certaine époque. Une des meilleures explications fait intervenir un changement
dans l’axe de rotation de la terre, événement qui aurait complètement
redistribué les schémas climatiques.
Velikovsky
rapporte les observations d’un certain Heer, qui étudia les végétaux fossilisés
de l’Arctique, notamment des magnolias et des figuiers ! Au niveau du
cercle polaire, sur une terre aujourd’hui froide et privée de la lumière
nécessaire, il y avait autrefois des forêts d’arbres exotiques.
L’ancienne
carte de Piri Réis montre le monde connu à la Renaissance, avec aussi une
partie de la côte du continent antarctique. C’est surprenant puisque la science
du XVI ème siècle ne permettait pas d’évaluer les longitudes… qui sont
correctes sur la carte ! [8]
De plus, l’Antarctique est couvert de glace depuis au moins 10 000
ans ! Il faut alors penser que la carte a été établie avant cette période,
et que le continent austral n’a pas toujours été couvert de glace… donc qu’il
n’a pas toujours été à l’emplacement du pôle sud. On a retrouvé là des traces
de forêt tropicale, avec des fougères et des palmiers.
Une autre
conclusion est qu’il a existé en Antarctique une civilisation développée, qui a
dessiné cette carte, avant la glaciation.
Une autre
carte de la Renaissance, celle d’Oronce Fine (ou Oronteus Finaeus), montre le
continent Antarctique d’une façon précise.
[2] Large étude réalisée sous la direction de l’université
du Colorado, à Boulder, avec participation de la Nasa et du centre aérospatial
allemand. Les données montrent que la quantité de glace perdue en sept ans, par
le Groenland, l’Antarctique et les autres glaciers et calottes polaires,
avoisine les 4300 milliards de tonnes.
Page : http://cordis.europa.eu/news/rcn/34293_fr.html
Page : http://cordis.europa.eu/news/rcn/34293_fr.html
[3] Site internet climatechallengebe.
[4] Edgar Cayce résumait ainsi le
basculement des pôles qui aurait eu lieu 50 000 ans avant notre ère :
« La glace, la Nature, Dieu, changèrent l’axe des pôles… » Ces
paroles pouvaient sembler incompréhensibles, avant que l’on constate la fonte
de la banquise et de certains glaciers. Un autre indice est manifeste de nos
jours : les volcans de la Ceinture de Feu du Pacifique sont en activité,
ce que Cayce annonçait comme un signe précurseur du basculement.
[5] Sur le processus cataclysmique en cours, on peut trouver beaucoup d’infos
sur le blog de Ben Garneau : https://bengarno.wordpress.com/constatations/
[6] http://www.insu.cnrs.fr/terre-solide/dynamique-interne/noyau-manteau/quand-la-terre-part-a-la-derive
[8] « Pendant des années, cette carte fut soumise à
tous les examens possibles et imaginables afin d’en vérifier l’authenticité et
elle les surmonta brillamment… le résultat fut surprenant : cette carte,
comme celle de Finaeus, a été dessinée sur la base d’une projection
sophistiquée en utilisant la trigonométrie sphérique » (Flavio Barbiero).
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