La fonte de
la glace
Le GIEC est
le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Pour cette
organisation : « Le réchauffement du climat ne fait aucun doute et est
désormais attesté par l’augmentation observée des températures moyennes de
l’air et de l’océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace et
l’augmentation du niveau moyen de la mer ». Les glaciers et la neige, qui
recouvrent certaines zones terrestres, fondent. On a pu constater que la
température à la surface des mers et des océans n’avait jamais été aussi élevée
que pendant l’année 2016.
La banquise
du pôle nord fond inexorablement. En 2016, on ne pouvait que constater que la
réduction de la surface de la glace avait atteint un record. En Octobre, sa
surface était la plus faible jamais enregistré, depuis le début des relevés par
satellites, en 1979. Elle disparaîtrait complètement dans les années 2050. [1]
Fort
heureusement, la glace du continent antarctique se maintient.
Une étude s’est
particulièrement intéressée aux glaciers et aux calottes glaciaires, entre 2003
et 2010. Pendant ces sept ans, le niveau mondial des mers s’est élevé de 12
millimètres. Ceci correspond à une quantité de glace suffisante pour recouvrir
les États-Unis d’une couche de 50cm. [2]
Le journal
« Le Monde » titrait en début d’année 2017 : « Les glaciers
alpins fondent à très grande vitesse. Selon une étude internationale, les
formations glaciaires réagissent plus fortement que prévu au réchauffement
climatique. » La Mer des Glaces a perdu plus de deux kilomètres de
longueur en deux siècles.
En Afrique,
la superficie des glaciers a diminué en moyenne de 60 à 70 % depuis 1900.
« Dans environ dix ans, les dernières neiges qui sont encore visibles
depuis le Kenya au sommet du Kilimandjaro ne seront probablement plus qu’un
souvenir. » [3]
Entre 1901
et 2010, le niveau des mers a augmenté de 19 cm. Depuis 20 ans, la hausse du
niveau est presque 2 fois plus rapide. Le réchauffement est donc une menace
déjà par la simple augmentation du niveau des mers, qui évidemment empiète sur
les terres, même si cette montée paraît très lente.
Le
changement d’axe de rotation de la terre
Albert
Einstein croyait que des catastrophes surviennent quand la croûte terrestre se
déplace à la surface du globe. La cause en serait la force centrifuge, générée
par le mouvement de rotation, qui ferait pression sur les glaces polaires.
L’asymétrie de répartition de la glace finirait par provoquer une instabilité,
un déplacement brutal de la croûte. Les régions polaires bougeraient ainsi vers
l’équateur.
Le grand
médium Edgar Cayce affirma , dans la première moitié du XXe siècle, que les
pôles de la terre basculeraient en 1998, c’est-à-dire que l’axe de rotation de
notre planète allait se modifier. Il voyait cet événement comme la culmination
d’un processus progressif, qui marquerait le début d’un nouvel âge. Il
expliquait que les pôles avaient déjà changé, il y a environ 50 000 ans.
« Ces changements amèneront, comme nous le trouvons, la submersion de
certaines zones avec les inondations dues au raz-de-marée qui suivra… Le
glissement de l’axe des pôles, c’est-à-dire le commencement d’un nouveau cycle,
se fera d’abord en douceur. Puis, il viendra un temps où, le processus
s’accélérant, il deviendra violent, sous forme d’éruptions volcaniques, séismes,
pluies diluviennes, tsunamis… Le renversement de l’axe des pôles aura comme
conséquence que les pays à climat froid et semi-tropical deviendront tropicaux,
avec des mousses et des fougères » (Traduction de Dorothée Koechlin de
Bizemont).
On pourrait
penser que la prophétie susmentionnée était fausse puisqu’il ne s’est rien
passé aux dates prévues ! Ou alors, l’échéance a été repoussée, mais pas
nécessairement annulée ? Cayce disait que ses prophéties étaient
conditionnelles, qu’elles dépendaient du libre arbitre des personnes. Il voyait
l’état de la situation à un moment donné, mais ne pouvait prévoir la façon dont
les peuples orienteraient leurs choix, leurs volontés. Par ailleurs, il est
bien connu que les voyants reçoivent des images, des flashs, mais ont du mal à
dater les événements.
Le
guérisseur Philippe de Lyon (1849-1905) annonçait, pour le XXè siècle,
« le renversement des pôles qui amènera le chaud à la place du froid et
inversement. » Comme Cayce, il prédisait à cette occasion l’émergence de
terres nouvelles et l’engloutissement de certaines autres.
Un scénario
possible
Cycliquement, le système solaire est soumis à des conditions énergétiques déséquilibrantes. Cela peut être dû à l’arrivée d’un corps céleste qui vient perturber l’équilibre des forces.Cela peut être dû à l’arrivée du système solaire dans une région de l’espace, porteuse de conditions énergétiques différentes. Le champ magnétique de la terre s’affaiblit. L’intensité des rayons du soleil réchauffe la terre. Cela provoque une fonte progressive des glaces. Cette diminution de la glace (totale ou partielle) change la répartition des masses sur la terre. Notre planète est déstabilisée ; elle perd son axe de rotation, et en retrouve un autre, adapté aux nouvelles conditions. [4] Ce brusque mouvement entraîne celui des mers et des océans, ce qui provoque de gigantesques raz de marées sur les régions côtières. [5]
Cycliquement, le système solaire est soumis à des conditions énergétiques déséquilibrantes. Cela peut être dû à l’arrivée d’un corps céleste qui vient perturber l’équilibre des forces.Cela peut être dû à l’arrivée du système solaire dans une région de l’espace, porteuse de conditions énergétiques différentes. Le champ magnétique de la terre s’affaiblit. L’intensité des rayons du soleil réchauffe la terre. Cela provoque une fonte progressive des glaces. Cette diminution de la glace (totale ou partielle) change la répartition des masses sur la terre. Notre planète est déstabilisée ; elle perd son axe de rotation, et en retrouve un autre, adapté aux nouvelles conditions. [4] Ce brusque mouvement entraîne celui des mers et des océans, ce qui provoque de gigantesques raz de marées sur les régions côtières. [5]
Pour le CNRS
commentant un cas de figure fictif : « Il a été montré que la
dérive du pôle de rotation d’une planète peut être produite par des changements
dans la distribution des masses dans son manteau ou à sa surface… Un
réarrangement de masse (de grande échelle) va donc entraîner la Terre à
basculer pour se rééquilibrer par rapport à l’orientation de sa
rotation. » [6]
Comme
l’écrit Flavio Barbiero, « L’axe de symétrie de la terre, comme pour la
roue d’une voiture, est déterminé par la répartition des poids à la surface (de
la terre) et à l’intérieur. La rotation se fait toujours avec un équilibre
parfait avec la répartition des masses de la terre et l’ensemble des forces qui
agissent sur ses masses. C’est précisément pour maintenir cet équilibre que
l’axe change continuellement. Tout déplacement de masse sur la terre
entraîne un déplacement des pôles… De 1900 à 1970, la position moyenne du pôle
nord s’est déplacée de près d’une dizaine de mètres. »
Le scénario
peut être prolongé ; il explique pourquoi toutes les civilisations
anciennes ont consigné la grande inondation générale, que l’on appelle le
déluge. Si la planète bougeait, les anciens pôles ne seraient justement plus
aux pôles. Alors, toute leur glace devrait fondre, ce qui entraînerait une
montée du niveau des mers. L’eau recouvrirait les basses terres de la
planète ; la carte du monde serait transformée. C’est probablement ce qui
est arrivé il y a 12 000 ans !
Une vidéo,
visible sur Internet, donne la parole à des Inuits, qui ont remarqué des
changements dans les habitudes de levers et couchers du soleil. Le Daily Mail
rapportait que, au Groenland, le jour se lève deux jours plus tôt que
d’habitude. [7]
Des éléments
de preuve
On a
retrouvé dans les glaces de Sibérie et de l’Alaska des mammouths et des animaux
tropicaux. Certains avaient encore dans l’estomac des plantes exotiques en
cours de digestion. C’est comme si ces animaux, de climat chaud ou tempéré,
s’étaient tout à coup retrouvés dans un froid extrême, et avaient littéralement
congelé sur place.
« En
1829, le scientifique allemand G.A. Erman se rendit aux îles Liakhov et de
Nouvelle-Sibérie pour y mesurer le champ magnétique terrestre et s’étonna de
voir le sol jonché d’os d’éléphants, de rhinocéros et de buffles. »
Comment ces animaux avaient-ils pu vivre dans un environnement aussi
hostile ?
En 1823, un
professeur de l’Université d’Oxford, William Buckland, visita une grotte située
à Kirkdale en Angleterre. Il découvrit des dents et des os d’animaux, tels des
éléphants, des rhinocéros, des hippopotames, des tigres… Dans la même région du
Yorkshire, dans la grotte Victoria près de Seule, on a découvert des restes
d’espèces identiques. Dans le même ordre d’idée, les cavernes britanniques du
Vale of Clwyd contiennent des os de lions !
Ces cadavres
d’animaux, semblant avoir vécu sous des climats qu’ils ne pouvaient en principe
pas supporter, nous enseignent que les climats de la terre ont changé à une
certaine époque. Une des meilleures explications fait intervenir un changement
dans l’axe de rotation de la terre, événement qui aurait complètement
redistribué les schémas climatiques.
Velikovsky
rapporte les observations d’un certain Heer, qui étudia les végétaux fossilisés
de l’Arctique, notamment des magnolias et des figuiers ! Au niveau du
cercle polaire, sur une terre aujourd’hui froide et privée de la lumière
nécessaire, il y avait autrefois des forêts d’arbres exotiques.
L’ancienne
carte de Piri Réis montre le monde connu à la Renaissance, avec aussi une
partie de la côte du continent antarctique. C’est surprenant puisque la science
du XVI ème siècle ne permettait pas d’évaluer les longitudes… qui sont
correctes sur la carte ! [8]
De plus, l’Antarctique est couvert de glace depuis au moins 10 000
ans ! Il faut alors penser que la carte a été établie avant cette période,
et que le continent austral n’a pas toujours été couvert de glace… donc qu’il
n’a pas toujours été à l’emplacement du pôle sud. On a retrouvé là des traces
de forêt tropicale, avec des fougères et des palmiers.
Une autre
conclusion est qu’il a existé en Antarctique une civilisation développée, qui a
dessiné cette carte, avant la glaciation.
Une autre
carte de la Renaissance, celle d’Oronce Fine (ou Oronteus Finaeus), montre le
continent Antarctique d’une façon précise.
[2] Large étude réalisée sous la direction de l’université
du Colorado, à Boulder, avec participation de la Nasa et du centre aérospatial
allemand. Les données montrent que la quantité de glace perdue en sept ans, par
le Groenland, l’Antarctique et les autres glaciers et calottes polaires,
avoisine les 4300 milliards de tonnes.
Page : http://cordis.europa.eu/news/rcn/34293_fr.html
Page : http://cordis.europa.eu/news/rcn/34293_fr.html
[3] Site internet climatechallengebe.
[4] Edgar Cayce résumait ainsi le
basculement des pôles qui aurait eu lieu 50 000 ans avant notre ère :
« La glace, la Nature, Dieu, changèrent l’axe des pôles… » Ces
paroles pouvaient sembler incompréhensibles, avant que l’on constate la fonte
de la banquise et de certains glaciers. Un autre indice est manifeste de nos
jours : les volcans de la Ceinture de Feu du Pacifique sont en activité,
ce que Cayce annonçait comme un signe précurseur du basculement.
[5] Sur le processus cataclysmique en cours, on peut trouver beaucoup d’infos
sur le blog de Ben Garneau : https://bengarno.wordpress.com/constatations/
[6] http://www.insu.cnrs.fr/terre-solide/dynamique-interne/noyau-manteau/quand-la-terre-part-a-la-derive
[8] « Pendant des années, cette carte fut soumise à
tous les examens possibles et imaginables afin d’en vérifier l’authenticité et
elle les surmonta brillamment… le résultat fut surprenant : cette carte,
comme celle de Finaeus, a été dessinée sur la base d’une projection
sophistiquée en utilisant la trigonométrie sphérique » (Flavio Barbiero).
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